Voici une classification simplifiée des sushis japonais. Bien qu’il existe une multitude de variantes, il est nécessaire de distinguer 3 grandes familles de préparations.

Les Nigirizushis

Le saviez-vous ? L’appellation sushi au sens large est un abus de langage. En réalité, sushi désigne plutôt les nigirizushis (littéralement « sushi tenu »). Ces derniers sont composés d’une boule de riz vinaigré sur laquelle est déposée un tranche de garniture appelée neta : poisson, crevette, légume ou autre fruit de mer.

Les makizushis

Communément appelés sushis maki, ces préparations sont obtenues à l’aide d’une feuille d’algue séchée (nori) sur laquelle est étalée du riz, puis remplie de garniture en son centre avant d’être roulée. Ce rouleau est ensuite coupé en tranches.

Les possibilités de combinaisons sont infinies. Ainsi, il possible de réaliser des sushis maki au poisson, à la viande, au fromage, aux légumes, voire végétariens…

Les célèbres california rolls désignent la variante occidentale, où contrairement à la version traditionelle, du riz est disposé par dessus la feuille d’algue séchée sur l’extérieur.

Les temakizushis

Les sushis temaki (littéralement « sushis roulés à la main »), généralement plus copieux, son obtenus en garnissant une feuille d’algue puis en la roulant sur elle même. La préparation obtenue est très souvent conique. Cette variante populaire se réalise facilement à la maison et requiert un temps de préparation moindre.

Les sashimis

Les sashimis ne doivent pas être confondus avec le reste des sushis japonais. Il s’agit d’une catégorie de mets distincte. Les sashimis désignent des tranches de poisson cru, sans riz, pouvant se déguster avec divers assaisonnements. On les retrouve fréquemment dans les restaurants à sushis japonais.